Quelle(s) stratégie(s) de gestion adopter face à la vulnérabilité des marais arrière-littoraux du Bessin aux aléas littoraux : submersion marine et recul du trait de côte ?
Une stratégie différenciée peut-elle être déclinée suivant si l’on considère le Marais du Graye-sur-Mer et sa proximité immédiate à la Seulles, ou si l’on situe sur la frange littorale du marais de Ver-sur-Mer et Meuvaines ? Faut-il poursuivre la défense contre la mer au droit des espaces naturels au regard des enjeux de biodiversité (habitats naturels d’eau douce) et d’usages (agricoles, cynégétiques, tourisme) ? Comment appréhender la volonté collective de contribuer à la préservation du paysage historique et à sa valorisation tout en considérant la vulnérabilité des marais arrières-littoraux ?